1. Ce n’est pas par l’enseignement de la moralité que nous parvenons à nous libérer des passions de ce monde, mais c’est par la participation à la nature divine. Comment participer à la nature divine ? Par la foi en la parole, en s’immergeant en elle, en l’inculquant en nous, en la faisant circuler dans le Corps de Christ. Sans nous en rendre compte, nous remportons la victoire sur les passions du monde (2 Pi 1:3-4; Dt 6:6-7; Ép 5:18b-19).
2. Le diable veut occuper notre cœur, et Dieu en a besoin pour que Son royaume grandisse. Notre cœur est le centre de la bataille. Une fois que nous sommes libres de la corruption des passions du monde, notre cœur est prêt pour que le Seigneur croisse en nous (Prov 4:23; 1 Pi 1:23; Lc 8:11-12).
3. Grâces à Dieu, notre foi est dynamique, et ce qui nous donne cette énergie, c’est la parole. La parole n’est pas statique, mais elle opère, travaillée, lorsque nous l’inculquons en nous par des cris de guerre, des notes, de la transcription, en dormant avec Dieu, en nous réveillant avec Dieu, en enseignant les uns aux autres. Remplissons-nous de l’énergie de la vie, et cette énergie fera en sorte que le morceau de terre que nous avons reçu produise ! (2 Pi 1:5- 8).
4. Dès que nous détectons un péché, nous devons le confesser et nous purifier, en revenant à la communion. Confesser les péchés et ne pas les cacher est la manière de maintenir la communion de la vie. Et en nous immergeant dans la parole, en la partageant les uns avec les autres et en permettant à la parole d’habiter richement dans notre cœur, nous accomplirons la volonté de Dieu, qui est d’édifier l’Église, de propager l’Évangile du royaume dans toute la terre habitée et de ramener notre bien-aimé Seigneur Jésus (Prov 28:13; Héb 9:14)! (Nourriture quotidienne, Livre 1, Semaine 3, Dimanche, p. 56-57).