1.La parole prononcée par celui qui s’efforce de rechercher la communion dans l’enseignement des apôtres pénètre irrésistiblement dans le cœur de celui qui écoute. Elle est comme une épée à deux tranchants ; elle partage âme et esprit, jointures et moelles, elle juge aussi les pensées et les intentions du cœur. Il n’y a personne qui puisse y rester indifférent (Heb 4 :12) !
2.Le début de la vie de l’église, décrit dans le livre des Actes, nous montre des principes valables de nos jours. Premièrement, tout commence avec la parole des apôtres, qui, ruminée par les frères, les introduisait dans la communion de l’unique enseignement apostolique. La persévérance dans cet enseignement produisait la vie normale de l’église. La lutte de Satan est de détruire cette parole, rendant ainsi impossible la communion des saints et l’exercice des fonctions dans le Corps (Act 2 :42 ; Jn 10 :10).
3.Parce qu’ils jouissaient d’une vie d’église singulière, intense et céleste, les frères de l’église primitive n’aimaient pas les choses de la sphère terrestre. C’est pourquoi ils déposaient spontanément tout aux pieds des apôtres et avaient tout en commun. Ce principe demeure aujourd’hui : Tout ce que nous avons appartient au Seigneur. Nous sommes ses administrateurs (Act 2 :43-47, 4 :34-35 ; Gal 1 :3,4).
4. Ainsi que l’Éternel a fait avec Israël, il met aussi devant nous la bénédiction et la malédiction (Dt 11 :26). Le choix nous appartient. Choisir la bénédiction, c’est suivre la voix du bon Berger, qui a donné sa vie pour les brebis (Jn 10 :11). (Nourriture quotidienne, Livre 2, Semaine 4, Lundi, p. 57)